LÀ Caravane

2012 – 2013 Voyage autour de chez moi avec Ann Penders et Barbara Demaret


Pendant une année chinoise (celle du dragon), Anne et Barbara s’emmènent en chine ici.

L’une avait un camion jaune, l’autre a une caravane Turquoise. Le projet en devenir commence par une envie de vert / la rencontre parlera forcément d’autre chose.

De discussions arborescentes en désirs de chemins, d’accumulation de documents en propos politiques, elles se retrouvent autour d’un thé chinois ou pas, à construire une idée, à poursuivre une route sur laquelle le rêve de petite fille de barbara (partir en chine) rejoint la quête étrange de anne (chercher la chine hors de chine).
Une recherche empirique. Une pensée rhisomatique. Un partage.

… Barbara papillonne d’une info à l’autre, elle survole, s’emballe, se taît (c’est elle qui le dit)*.
… Anne creuse, étoffe, argumente, toujours plus précise (c’est barbara qui le dit)**.

Leur rencontre est complémentaire… presque une anecdote en soi.
… Anne c’est la Chine en vrai : des voyages, des publications, des créations sonores, des images, des traductions, des études… c’est du sérieux (c’est barbara qui le dit).
… Barbara, c’est la Chine en imagination, en histoires, en livres survolés, en films, en « j’ai une amie qui…. » (c’est elle qui le dit).

Une expérience. Une somme d’idées tricotées. Un premier départ.
Un lundi de mars à Wez-de-Chine (Belgique). Par exemple.

… partir vers, sans savoir, un quête absurde ? prendre le temps de, un luxe ? une nécessité surtout, celle d’arpenter le monde autrement, de se laisser surprendre par les réponses qu’il donne à nos questions étranges… (c’est anne qui le dit)

Plus tard, peut-être, une trace transformée, montrée, publiée.
On vous tiendra au courant.

* »Je survole et cherche en poésie, je n’ai pas le temps de lire et étudier tout ce qui m’intéresse, alors je plisse les yeux et laisse entrer les informations qui m’entourent afin qu’elles m’atteignent et me guident vers des actions concrètes et poétiques »… (barbara)
** »La Chine comme fil rouge… aborder le réel avec un regard décalé… en fin de compte, c’est toujours du monde dont on parle » (anne)


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